Le gouvernement a annoncé aujourd'hui la création du premier groupe de travail national sur les mariages précoces et forcés d'enfants, afin "d'en savoir plus et de mieux comprendre" le phénomène et ses manifestations". Dans une interview accordée à l'agence de presse Lusa via le zoom, la secrétaire d'État à la citoyenneté et à l'égalité a souligné qu'"il n'y a pas d'enregistrement d'une augmentation des cas". Cependant, elle a déclaré qu'"il y a des incidents" et que "des outils sont nécessaires pour savoir comment intervenir".