Selon l'endroit où l'on vit en Algarve, la situation des chiens qui aboient continuellement pendant une longue période de temps, de jour comme de nuit, peut être assimilée à une torture mentale. Surtout si l'on ne peut pas avoir une bonne nuit de sommeil. La privation de sommeil est une forme de torture utilisée comme nous le savons bien.

Il semble que certaines personnes aient été poussées à bout et aient pris cette mesure horrible, alors que le blâme et l'action devraient être portés contre les propriétaires de ces chiens, dont beaucoup sont errants, bien que j'aie vu des chiens avec des colliers errer en ville et dans la région où je vis. Ces chiens sont laissés en liberté la nuit OU laissés dans la propriété des propriétaires pour hurler sans aucun égard pour les voisins. Étonnamment, les propriétaires eux-mêmes ne sont pas conscients de ces aboiements continus.

Si quelqu'un organisait une réunion (après les restrictions) ou décidait de jouer de la musique forte après une certaine heure le soir, cela ne serait pas considéré comme un comportement de voisinage et la police serait appelée, mais ce n'est pas le cas avec les chiens qui aboient, ce qui semble être une forme acceptable de pollution sonore.

Les appels à la Câmara n'ont, semble-t-il, donné lieu à aucune action, bien que l'on ait donné l'adresse des personnes concernées, si ce n'est de la compassion et la suggestion d'appeler la police (GNR), ce qui semble excessif, d'autant plus que lorsque la police se décide enfin à s'aventurer, il faut que les chiens aboient pour qu'elle agisse. Il a été inutile de parler aux propriétaires des chiens du quartier, ils haussent les épaules et disent que les chiens aboient ! Je me demande donc si c'est la ligne de conduite que quelqu'un a adoptée parce qu'il ne semblait y avoir aucune possibilité de résolution, autre que leur action, qui était clairement malavisée.

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