"Après une analyse approfondie et de nombreuses études, TAP a décidé de fermer l'activité de maintenance et d'ingénierie au Brésil et de fermer progressivement l'opération au Brésil", a annoncé Ourmières-Widener dans des déclarations à l'agence Lusa.
La Commission européenne a indiqué le 21 décembre avoir approuvé le plan de restructuration de TAP et l'aide d'État de 2 550 millions d'euros, mais a imposé des conditions, notamment la séparation des actifs non essentiels, à savoir l'activité de maintenance au Brésil, et celles de restauration (Cateringpor) et de manutention (Groundforce).