"Jenny avait déjà des 'lodgers'. Alors je les ai pris." Il se trouve que la chienne d'un voisin vient d'avoir des chiots, et j'en ai pris deux. Ils sont magnifiques !" (Mais c'est une autre histoire). Carina a manifestement compris qu'il fallait aider la nature. Membre de longue date de l'Association pour la protection de l'Algarve, elle poursuit . "Nous avons trouvé des foyers pour deux des chiots de la voisine. Ils étaient prêts à partir, plus ou moins."


Heureusement, aidés par la campagne SNiP de l'APAA ? "Bien sûr !" Carina sait combien le programme de stérilisation des animaux est important pour le bien-être des animaux. "Cela peut être pénible pour la communauté aussi". Voir des animaux malades, abandonnés, il n'y a aucune raison réelle pour cela, du tout !" Carina a raison. L'APAA et d'autres refuges sont disponibles, ainsi que les vétérinaires, pour apporter leur soutien en cas de besoin. "Nos trois chiots de pré-Noël seront bientôt prêts à être accueillis." Ça ne va pas être trop difficile, ils sont magnifiques.

Les récents rapports de Lisa Dowling, rédactrice en chef de l'APAA sur Facebook, faisant état de l'apparition du féroce "parvo" félin en Algarve, semblent malheureusement être en augmentation. Suber, un jeune chaton de sauvetage, a été relogé, a eu le virus et est mort. C'est un choc pour toutes les personnes concernées, car le retour à la maison pour toujours signifierait une fin heureuse. Zélia Santos et ses amis craignent évidemment pour leurs colonies de félins. Comme la plupart des amoureux des chats le savent, l'approche la plus sensée est de veiller à ce que les animaux domestiques soient tenus à l'écart des animaux sauvages. La maladie a appauvri la population féline au fil des décennies. Elle apparaît et disparaît. "La seule façon de la vaincre est de la traiter à la source".


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Assurez-vous que tous les animaux sont vaccinés dès que possible." Jenny prévient. "Elle se propage, rapidement." Le problème est qu'il y a plus de chats "sauvages" que de chiens. Ils se multiplient beaucoup plus vite, et les félins transmettent la maladie par leur comportement social. Les jeunes systèmes immunitaires ne peuvent pas faire face. "Par le biais de nos colonies de chats, nous essayons de les attraper, aussi jeunes que possible, de les SNiP et de nous assurer qu'ils sont vaccinés." L'inquiétude de Jenny est évidente. "Le problème est de les attraper. Les chats sont des créatures rusées. Au moindre problème, ils s'en vont !" Les symptômes du "parvovirus" félin sont caractéristiques. Vomissements, diarrhée, fièvre, suivis d'un comportement instable et imprévisible, puis d'un effondrement. Dès que vous avez des doutes, n'attendez pas qu'il soit trop tard. Contactez immédiatement un vétérinaire.

Si vous voulez aider, ou si vous avez besoin d'aide, contactez Jenny à info.apaaaportugal.@gmail.com ou zelia.santos@live.co.uk. Consultez également Facebook.