"Je pense que oui. La position du CIO est la plus raisonnable. Les termes, conditions et modalités pour le faire sont une question qui doit être discutée, évaluée, considérée", a résumé José Manuel Constantino.

Le président de la COP défend que "le sport doit envoyer un message pour que les parties se comprennent, il ne doit pas soutenir une partie contre l'autre", à l'heure où la participation aux JO de Paris 2024 fait débat.

"Le sport doit être un facteur de pacification et de rapprochement entre les parties opposées. Tout ce qui a été fait - non pas dans le sens de trouver des solutions équilibrées et pacifiques, mais d'armer une des parties contre l'autre - ne me semble pas fonctionner. Et ce qui se passe est clair".