Huit mois après l'approbation, en général, des cinq projets de loi (PS, BE, PAN, PEV et Initiative libérale), et après le "non" à la consultation populaire, le débat sur le diplôme se poursuivra au sein du groupe de travail créé à cet effet au sein de la commission des affaires constitutionnelles, des droits, des libertés et des garanties.

Si la loi est approuvée, lors d'un vote global final, à l'Assemblée de la République, le Président de la République, Marcelo Rebelo de Sousa, pourra garder la décision entre ses mains à quelques semaines des élections présidentielles.

Interrogé sur le processus législatif de l'euthanasie, il a déclaré "Ma décision ne sera pas une affirmation de positions personnelles, elle représentera l'analyse qu'un Président de la République doit faire sur la situation de la société portugaise au moment où on lui demande de considérer s'il promulgue ou non".