Le projet de loi vise à supprimer de manière proactive les contenus impliquant la torture d'animaux, les abus sexuels sur des enfants, les menaces de mort et la pornographie de vengeance, toutes ces infractions étant classées comme prioritaires. Les entreprises qui ne s'y conforment pas s'exposent à des amendes pouvant aller jusqu'à 10 % de leur chiffre d'affaires annuel.