Selon Rogério Bacalhau, la municipalité dispose d'un réseau d'organismes officiels, d'associations et d'institutions de solidarité sociale sur le terrain afin de s'assurer que les 24 sans-abri dont il est question dans la municipalité sont prêts à surmonter la vague de froid qui touche le pays et l'Algarve.

Le maire a expliqué que la municipalité dispose de "plans d'urgence contre les conditions climatiques et aussi la pandémie active" et que la section de la Commission municipale de protection civile se réunit "deux à trois fois par semaine" pour préparer l'aide à ces personnes, soulignant que certains n'acceptent pas l'aide, comme l'utilisation d'une zone créée par les pompiers pour les nuitées.

"Particulièrement en ce moment, où les conditions climatiques sont un peu dures en raison des basses températures, nous avons suivi ces personnes que l'on appelle les sans-abri, qui sont actuellement au nombre de 24. Mais parmi celles-ci, seules cinq personnes vivent dans la rue, les autres sont dans des maisons abandonnées ou des choses comme ça", a déclaré le maire.

Le travail est effectué par le Centre de planification et d'intervention pour les sans-abri (PISA) de Faro, "qui assure un suivi tout au long de l'année et particulièrement à cette période", avec le soutien "des forces de sécurité - GNR et PSP -, de l'Union des paroisses de Sé et São Pedro, du G.A.T.O [Groupe d'appui aux toxicomanes], du MAPS [Mouvement d'appui au problème du sida] et de Santa Casa da Misericórdia".