"L'État doit prendre ses distances avec cette affaire, le plus rapidement possible. Il n'y a pas de solution pour la TAP, et encore moins de respect pour les contribuables portugais. Il est douloureux de voir cela", a-t-il écrit sur Twitter.

Il convient de noter que le personnel de la TAP fera grève les 8 et 9 décembre, ce qui a été décidé lors d'une assemblée générale du Syndicat national du personnel navigant de l'aviation civile (SNPVAC).

Le syndicat des équipages justifie le préavis de grève par les "violations systématiques" de l'accord d'entreprise en vigueur et de l'accord temporaire d'urgence.

A cela s'ajoutent le "manque de respect de la TAP envers l'équipage" et les "décisions de gestion plus que discutables qui finissent par avoir un impact direct et indirect" sur la vie de ces travailleurs.