Caravanes

EDITOR, je voudrais remercier le conseil municipal de Lagoa pour les fantastiques améliorations apportées à notre rue, Rua das Flores, avec l'augmentation des places de parking pour les résidents et les visiteurs.

La route n'est pas encore terminée (l'alimentation en eau doit encore être raccordée et les démarcations de stationnement doivent encore être peintes), mais elle a déjà été ouverte à la circulation et au stationnement.

À notre grande surprise, la rue a déjà été envahie par des caravanes, de JOUR comme de NUIT, qui occupent chacune plusieurs places. Il n'y a pas d'installations pour les séjours de nuit - et d'après notre expérience passée, nous savons qu'elles font leurs besoins dans les buissons près de la promenade. Ils déposent également de grandes quantités de déchets dans les poubelles, qui débordent constamment. Avec la chaleur, ils laissent tourner leurs moteurs pour laisser l'air conditionné - polluant ainsi l'air avec leur bruit et leurs fumées de diesel.

En plus des caravanes, des voitures se garent sur les trottoirs calcada nouvellement pavés, limitant ainsi l'accès des piétons et endommageant les beaux trottoirs. Plusieurs voitures se sont déjà garées sur les places réservées, alors qu'elles n'avaient pas de permis pour le faire.

Les lourdes caravanes et les voitures qui stationnent illégalement sur les trottoirs ont également endommagé les conduites d'eau en roulant dessus, provoquant des fuites d'eau inutiles, et gênant les habitants pendant que l'eau est coupée pendant les réparations.

Nous avons vécu les désagréments des travaux - en espérant bénéficier du beau résultat - mais hélas, la situation semble pire que jamais. Les caravanes ne devraient pas être autorisées sur cette route - tout comme elles ne sont pas autorisées sur le parking près de la promenade.

Est-il possible pour le conseil municipal d'organiser une signalisation interdisant aux caravanes de stationner sur la Rua das Flores ?

HABITANT DE LA RUA DAS FLORES

via www.theportugalnews.com

Règle des 90/180 jours

EDITOR, un avertissement à tous les propriétaires de maisons de vacances non-résidents dans l'UE.

On m'a refusé une demande d'indemnisation au titre de l'assurance de ma maison de vacances en Algarve parce qu'elle est restée inoccupée pendant plus de 60 jours, bien qu'elle ait été vérifiée pendant cette période.

Il semblerait que les assureurs vendent des polices dont ils savent qu'ils ont de bonnes chances de les renier en raison de la règle des 90/180 jours, qui m'a empêché de revenir pendant 90 jours après ma précédente visite.

M. STEVE HANSON,
ALCANTARILHA