"Ce rapport prouve que le gouvernement a fait ce qu'il devait faire", a déclaré Eduardo Cabrita lors du débat, au Parlement, du rapport sur l'application de l'état d'urgence, du 17 au 31 mars, une période qui comprend le début de la vaccination à un taux plus élevé, y compris pour les personnes âgées.

Et la preuve en est, a-t-il dit, que lui-même ne participera plus à un prochain débat sur la reconduction de l'état d'urgence, qui était prévu mais a quitté l'ordre du jour de la plénière.

Cette période est aussi celle où l'on a enregistré le retour des élèves à l'école, ou encore la période de Pâques, où les mesures pour contenir la mobilisation des Portugais ont été renforcées.

Eduardo Cabrita a énuméré les résultats des mesures prises au cours de cette période, comme la vaccination des Portugais de plus de 80 ans, la "réduction très significative des cas", dont le maximum était autrefois de 600 et dont la moyenne est aujourd'hui inférieure à 400, ou encore la réduction de 38 % du nombre d'admissions dans les unités de soins intensifs.