Un ami avocat m'a emmené déjeuner la semaine dernière. Il n'est pas obligatoire de porter un masque, que ce soit dans la rue ou dans un restaurant, mais nous avons été amusés de constater que nous devions en porter un pour franchir une porte afin de passer de l'un à l'autre. La porte menait directement de la rue à la salle à manger. Personne n'a pu expliquer le but de cet avis, mais bien sûr, il était obligatoire de s'y conformer.

Ignorons les faits concernant les masques, à savoir qu'ils ne servent à rien puisqu'ils ne peuvent pas empêcher les virus de passer, ces derniers étant si petits, et concentrons-nous sur quelque chose de bien plus inquiétant.

Le lendemain, on nous a empêchés d'entrer dans une zone de terrain vague à Lagos parce que nous devions porter un masque pour passer la porte.

"Quel portail ?" ai-je demandé.

On nous a dit très sérieusement qu'il y avait un portail sur un terrain de vingt mètres. Je ne voyais aucun portail, mes compagnons non plus, mais les idiots devant nous insistaient sur le fait qu'il y avait un portail et que nous devions porter un masque pour le franchir.

Les choses ont rapidement empiré. Ils ont expliqué que nous devions porter un masque pour entrer dans une zone couverte. "Quelle couverture ?" avons-nous demandé. "C'est quoi, là-haut ?"

Personne n'a répondu. C'était, bien sûr, le ciel, le soleil, et un petit nuage de temps en temps. On ne pouvait certainement pas voir de couverture, et il n'y avait rien pour soutenir une sorte de toit puisqu'il n'y avait pas de murs.

La situation a empiré. On nous a dit qu'il y avait une barrière séparant la zone de rafraîchissement. Personne n'a pu voir de barrière. On nous a dit que la barrière était une ligne sur le sol que nous ne pouvions pas voir. Apparemment, cette barrière était là pour empêcher les virus de passer dans la zone de restauration.

Personne n'a pu nous dire où se trouvaient les panneaux avertissant les virus de l'existence de cette barrière qui devait les empêcher de passer dans une autre zone du terrain vague.

Tout cela est absurde alors qu'il est bien connu que les virus ne peuvent pas survivre plus de deux minutes en plein soleil. Mais alors, qui lit les articles scientifiques sur ces sujets ?

C'est sérieux. Des adultes qui prétendent que le ciel est un toit et qu'une parcelle de terrain vague est donc couverte, et qu'il existe des portes et des barrières qu'aucun d'entre nous ne peut voir. J'ai toujours compris que les personnes qui ont des hallucinations ont besoin d'un traitement médical. Est-ce le résultat souhaité de toute cette absurdité covidienne ? Si ce n'est pas le cas, quelqu'un peut-il m'expliquer dans un langage simple mais scientifique ce dont il s'agit ? Au moins dans les années 60, lorsque nous voyions des toits et des portails inexistants, c'était parce que nous étions sous LSD.

Qu'est-ce que ces gens ont pris ? Et pourront-ils jamais redescendre de cet étrange trip ? Tout l'incident ressemble plus à l'entrée dans un asile de fous.

dr john clare,

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